Ces jeunes pousses développent des wearables capables d’enregistrer les mouvements des salariés tout au long de leur journée de travail et de déterminer quand ils ont des comportements à risque.
Après deux années de baisses consécutives, le nombre de salariés recensés comme étant victimes de ces TMS est reparti à la hausse en 2015, avec 40 000 victimes recensées par la Sécurité Sociale.